Marianne a une âme supérieure à défaut d’être bien née. Elle nous indique le chemin de la modernité. Elle croit à l’amitié, peut-être davantage qu’à l’amour. Elle se sait belle sans être vaine, elle se veut menée par l’intelligence et non par les passions. Dommage que le roman tourne court. Mais quel plaisir de lire Marivaux. Vive le XVIIIème siècle!
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un très beau livre que j’ai lu aussi!
marjolaine