Pour écouter l’Inconscient, Freud est prié de fermer les yeux mais il n’a cessé de rêver le voir. A Arnold Zweig il écrit le 10 septembre 1930 : “Par la brèche de la rétine on pourrait voir profondément dans l’inconscient.”
(Correspondance Freud-A.Zweig, Gallimard, 1973, p.48)