Jeu de cartes : Tante Léonie, Nietzsche, Humphrey Bogart, poupées de Peynet

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“Son lit longeait la fenêtre, elle avait la rue sous les yeux et y lisait du matin au soir, pour se désennuyer, à la façon des princes persans, ma chronique quotidienne mais immémoriale de Combray, qu’elle commentait ensuite avec Françoise.”

Marcel Proust, A la recherche du temps perdu.

Ne sommes-nous pas toujours assis à une grande table de moquerie et de jeu?

Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra.

2 réflexions au sujet de « Jeu de cartes : Tante Léonie, Nietzsche, Humphrey Bogart, poupées de Peynet »

  • 29 novembre 2007 à 2 02 04 110411
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    Nietzsche aurait adoré le cinéma de Bergman – et de Fellini aussi

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  • 29 novembre 2007 à 12 12 34 113411
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    que veut dire ce rectangle ou le RIEN domine?

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