En s’entourant d’objets archéologiques, Rodin et Freud s’approprient l’antique. Ils vivent dans le dialogue le plus personnel, le plus quotidien avec les grands Anciens pour y trouver l’universalité de la nature humaine, s’appuyer sur elle pour conforter leur propre creation, leur propre originalité. (…) Les mots qu’ils utilisent pour decrire leur passion, on pourrait presque parler de leur tendresse, pour l’Antiquité, ont des accents similaires. Pour Rodin il s’agit de “félicités”, pour Freud de “consolations insurpassees”.
Lydia Flem : “Freud/Rodin: Createurs/Collectionneurs”
Extrait du catalogue de l’exposition du musée Rodin
Rodin/Freud La Passion a l’oeuvre.
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