“(…) Car au fond ils l’obligeaient à n’avoir de recours qu’en soi, ils l’aidaient à tenir ses forces concentrées (…).”
Kafka, Le Château, Pléiade, I, trad. de l’all. par A.Vialatte, p.524.
“(…) Car au fond ils l’obligeaient à n’avoir de recours qu’en soi, ils l’aidaient à tenir ses forces concentrées (…).”
Kafka, Le Château, Pléiade, I, trad. de l’all. par A.Vialatte, p.524.
une ile certainement,
sans tourbillon,
ni douleur
ni soupir
ni pleures
seulement
une caresse
d’une lectrice dévouéé
Dans le loin
de cette île
consommer j’imagine
ces petits papiers
en chagrins.
Dans le loin
de cette île
n’est trouvé que
des petits papiers
sans chagrins
Tout près de cette île
j’ai gouté en éventail
tous les petits mots
du lointain.
Dans cette île
tous les mots parcemaient
le chemin, en délice
tous les matins.
Je me souviens de cette île
quand sur d’autre je me souviens
de la premiere île qui parlait
de non chagrins,
chaque mots, chaque papiers
à chaque matin……
Des hauts, des bas, sans perdre de vue le lointain