Freud rêva la veille de l’enterrement de son père d’une pancarte sur laquelle il était écrit : »On est prié de fermer un oeil/les yeux. »
Entre « Ouvrir l’oeil et le bon » et « fermer les yeux », cad pardonner, toute l’existence humaine se joue.
Restons lucide, avec humour.
La vie se déroule souvent « entre » – et même » entre » les mots qui se perdent hors de tout regard.
Qui peut » se laver les yeux entre chaque regard” n’a peur de rien – ni même du bonheur ; l’unique terreur des mortels qui y vont à leur propre perte, au silence de tout regard.
Entre chaque regard il y a encore du sommeil – sans humidité.
A la page 87 vous citez une phrase de votre grand mère « sis chwer zu zein a Mench » . Je ne traduirai pas cela comme vous l’avez fait . Un Mench en Yiddisch est bien autre chose qu’un « humain » c’est un homme de qualité, un homme « bien » comme on dit maintenant.
Merci pour ce livre qui m’a interressée
oh combien est important le regard.
pensons- nous assez au premier ?
sorella
Et ainsi nous y verrions plus clair .
Freud rêva la veille de l’enterrement de son père d’une pancarte sur laquelle il était écrit : »On est prié de fermer un oeil/les yeux. »
Entre « Ouvrir l’oeil et le bon » et « fermer les yeux », cad pardonner, toute l’existence humaine se joue.
Restons lucide, avec humour.
L’oeil parfois écoute…
Ne dit-on pas : écoute voir ?
La vie se déroule souvent « entre » – et même » entre » les mots qui se perdent hors de tout regard.
Qui peut » se laver les yeux entre chaque regard” n’a peur de rien – ni même du bonheur ; l’unique terreur des mortels qui y vont à leur propre perte, au silence de tout regard.
Entre chaque regard il y a encore du sommeil – sans humidité.
A la page 87 vous citez une phrase de votre grand mère « sis chwer zu zein a Mench » . Je ne traduirai pas cela comme vous l’avez fait . Un Mench en Yiddisch est bien autre chose qu’un « humain » c’est un homme de qualité, un homme « bien » comme on dit maintenant.
Merci pour ce livre qui m’a interressée