“Si nous faisions l’incroyable pari d’aimer nos enfants, non pas parce qu’ils sont nos enfants, mais parce qu’ils sont des êtres uniques, singuliers, étranges et merveilleux, que nous choisissons d’adopter ?”
Lydia Flem, “Comment je me suis séparée de ma fille et de mon quasi-fils”, p.40.
Aujourd’hui, je suis allée porter les médicaments inutilisés à la pharmacie, pour qu’on les détruise sans contaminer l’environnement.
J’ai laissé les vieilles paires de lunettes chez l’opticien, qui prétend les envoyer dans des pays “en voie de développement”.
Au retour, j’avais dans ma boîte aux lettres votre livre “Comment j’ai vidé la maison de mes parents”, envoi d’un ami suisse qui sait de quoi sont faits mes jours en ce moment.
Merci d’avoir rigoureusement énuméré les objets, précisément nommé les émotions, justement trouvé les citations.
Samedi, je dois trouver preneur pour ses meubles et finir de vider son appartement.
Marie-Claude Désorcy, Saint-Hippolyte, Québec
Merci d’offir les photographies générées par vos écrits. Vous pourrez découvrir ce que vos écrits ont pu générer d’autre, ailleurs, à cette adresse : http://blogauteur.typepad.fr/francoisdebeaulieu/ Très cordialement, FdB
Bonjour Lydia,
Chaque sortie d’un livre de toi m’est un pur bonheur. Tes livres sont des morceaux de vie, déclinés avec précision et minutie. Je pars en voyage cette semaine et je prendrai avec moi ton dernier ouvrage.
Mes enfants sont partis depuis longtemps déjà…
Te souviens tu de RTL ? Je ne t’ai pas oublié.
Cela me ferait plaisir de te revoir.
Nicole C.
Bonjour Lydia,
J’ai beaucoup aimé ce livre et particulièrement cette phrase et celle aussi où tu parles qu’à un moment on voudrait changer de rôle. Je profite de cet petit mot pour te remercier de tout ce que tu m’as appris (avenue de la Couronne).
Marie-Geneviève