Textes dans des Ouvrages collectifs :
- Sigmund Freud. Judaism Essential and Mysterious, “Makers of Jewish Modernity”, Princeton University Press, 2016.
- Freud, Les Cahiers de l’Herne, “La vie quotidienne de Freud et ses patients à Vienne” (p.45-52) et “S.Freud, un judaïsme des lumières, une fidélité ‘mystérieuse’ et ‘capitale'” (p.53-60), 2015.
- Rubens et son héritage. Sensation et sensualité, “L’oeil du désir”, Bozar, 2014.
- Opéra, revue Pylône n°9, éd. Gilles Collard, “Voluptés”, p.128-131.
- Jean-Pierre Vernant. Dedans dehors (éd.M. Olender et F.Vitrani), “De l’amitié”, p.29-32, Le Genre humain 53, 2013.
- Ruptures (éd. René Frydman, Muriel Flis-Trèves), “Perdre, créer : la littérature existe parce que la réalité ne nous suffit pas”, p.107-108, PUF, 2013.
- Lexique Nomade, “Intime”, Assises du roman 2012, Le Monde, Villa Gillet, p.35-36, éd.Christian Bourgois, 2012.
- La question de la vérité, entretien de Raphaëlle Rérolle avec Lydia Flem, Catherine Millet, Camille Laurens, Assises du roman 2012, p.7-41, éd. Christian Bourgois, 2012.
- Casanova et le choix du bonheur, Télérama hors série, p.59, à l’occasion de l’exposition à la Bnf, “Casanova, la passion de la liberté”, 2012.
- Pensez Lisez, “Dolto”, p.42-43, éd Points, 2010.
- Les Madeleines de nos auteurs, (sous la dir. Apolline Elter), Soupe aux lentilles et crumble aux pommes, p. 93-101, Racine, 2008.
- Compartiment auteurs, 2007, Au fond de l’impasse, nouvelle, p. 55-60, (offert aux voyageurs par la SNCB à l’occasion de la Foire du Livre de ), 28 février 2007.
- Festival d’Aix-en-Provence, texte pour le programme de l’opéra « Julie » d’après Strinberg, musique de Boesmans.
- Rooms, récits, (sous la dir. Olivier Rolin), , Chambre 258, hôtel Waldhaus, Sils-Maria, p. 104-110, Seuil, La librairie du XXIe siècle , 2006.
- Séduction et sociétés, Approches historiques (sous la dir.Cécile Dauphin et Arlette Farge), « Opéra : délices de l’oreille, voix de la séduction », p. 330-346, Seuil, 2001.
- En substances, textes pour Françoise Héritier, Fayard, 2000, Cherubino d’amore, p. 555-560. Traduit en espagnol dans la revue Microfisuras, no 10, 2000.
- Construire l’histoire, Monographies de la Revue française de psychanalyse, Archives de l’inconscient ou fiction théorique ? PUF, 1998.
- La violence des familles, D’Œdipe à Figaro : une mise en scène de l’inceste, Autrement éd., 1997.
- Lettre à Paul Celan, in Lettres à l’amant, (dix-sept lettres d’écrivain au féminin), Colophon Imprimeur, Grignan, 1997 et Moments littéraires, n°33, 73-79.
- L’art est-il une connaissance?, (R.P.Droit éd.), Et il est bien permis de pousser un soupir. Freud et l’énigme de la création, Le Monde éd., 1993.
- La curiosité, (Nicole Czechowski éd.) Freud et Casanova : scènes d’enfance et de curiosité, Autrement éd., 1993.
- Bruxelles-Transit, Samy Szlingerbaum, (A.Nysenholc éd.), Bruxelles-Transit, Bruxelles-Transfert, Bruxelles, Complexe, 1989, p. 93-97.
Le dire avec des mots : psychanalyse et littérature
“La vie est là. Avec ses ombres, ses lumières, ses douceurs, ses douleurs. Fugitive. L’enfance, le rire, le chagrin, les silences, l’interdit et les désirs : explorer tous les miroirs de soi avec gravité et légèreté. Des gestes quotidiens, des petits riens qui nous troublent, nous habitent….”
“Allongée sur le divan couvert d’une fine couverture de laine aux formes géométriques, elle regarde, en un long travelling, le plafond, le haut des tentures de toile bleue, puis l’encadrement de la porte. Elle s’attache à des détails sans importance…..”
Préface à l’édition japonaise en poche
“Chères lectrices, chers lecteurs, Ceux que nous chérissions, ceux qui nous chérissaient, ont disparu ; et pourtant, nos parents, par les fils enchevêtrés des souvenirs vivent en nous. Après avoir traversé la première saison du deuil, des traces de leur présence, indirectes et diffuses, nous habitent. Un mot, un son, un parfum les font surgir à l’improviste…”
La Voix des amants (extrait)
“Je ne sais toujours pas pourquoi, un matin d’été, ma fille à peine née blottie dans le creux de mes bras, je me suis mise à arpenter la maison en chantant à tue-tête l’air du catalogue de Don Giovanni dans un état de grande exaltation….”