“Et il est bien permis de pousser un soupir quand on s’aperçoit qu’il est ainsi donné à certains (artistes) de faire surgir véritablement, sans aucune peine, les connaissances les plus profondes du tourbillon de leurs propres sentiments alors que nous autres (les théoriciens), pour y parvenir, devons nous frayer la voie en tâtonnant sans relâche au milieu de la plus cruelle incertitude.”
Freud, Malaise dans la civilisation.
c’est gentille de nous envoyer ce petit message crypté..
je pousse un grand soupir..